A propos d’El Roûse dè Sinte Ernele

Cette précision est donnée par George William lui-même, probablement dans le journal l’Aclot ou dans une des autres publications dont il s’occupait. Notre source est une copie dactylographiée, sans mention de l’origine, mais signée desinitiales G.W.

Au lecteur
Nous croyons devoir donner au lecteur un mot d’explication au sujet du prologue de notre pièce. Comme nous le disions dans l’Aclot du 9 mars 1890, au lendemain de la première représentation d’El Rouse, « Ce prologue ne nous appartient pas entièrement : l’idée, la charpente, tous les détails relatifs aux anciennes moeurs sont l’oeuvre de M. Joseph Rimé (1), un Nivellois dont nos lecteurs ont pu souvent apprécier, dans des chansons et poésies ! wallonnes, les qualités primesautières… »

Voici comment les choses se sont passées : un jour, M. Rimé nous lut une scène populaire qu’il avait intitulée : « In escrenne à l’vie moûde ». Ce tableau, plein de naturel et de vérité, nous plut tellement, qu’avec l’autorisation de l’auteur, la « Gavotte » (2) mit en répétition « In escrenne à lvie moûde ».

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