Nos lecteurs nous écrivent

De la part de Roger MASSON
À propos de l’article consacré à l’adduction d’eau signé Dominique Roseeuw, publié dans le Rif tout dju n° 595, je souhaite apporter quelques précisions complémentaires. Cette aventure moderne, je l’ai vécue de l’intérieur, en tant que directeur de l’Intercommunale des Eaux de Sart-Dames-Avelines. De 1972 à 2000, j’ai eu le privilège de suivre de près son évolution et ses enjeux.

NIVELLES VILLE D’EAU
Mais pourquoi l’eau de Sart-Dames-Avelines et pas celle de Seneffe ou d’Ecaussinnes ou encore celle passant à Vieux-Genappe en direction de Bruxelles ? Sans doute parce que la commune de Houtain-le-Val avait décidé de créer son réseau en posant une conduite partant de Sart-Dames-Avelines, et parce que l’intercommunale, disposant d’un captage prolifique sous-utilisé souhaitait rentabiliser les lourds investissements.

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De la part de Jean-Michel MAGUIN VREUX

Le numéro 595 de votre remarquable revue aclote interroge en page 49 les philatélistes sur un morceau de timbre-poste retrouvé sur une gazette publiée le 8 août 1881. Vous demandez à vos lecteurs s’il s’agit bien d’un morceau du timbre-poste « Lion belge » d’une valeur d’affranchissement à 1 centime édité en 1869.
Ce que les philatélistes identifient comme étant le timbre-poste « Lion avec chiffre » a été diffusé à partir du 15 novembre 1869 en couleur.
Le timbre-poste d’une valeur faciale de 1 centime se présentait en couleurs vert-jaune ou vert foncé. Ce même timbre en couleur vert-gris a été imprimé sur papier mince satiné à l’encre aniline à partir de 1880. Il y a fort à parier que le timbre-poste reproduit dans le numéro du RIF TOUT DJU provient de la nouvelle version du timbre imprimé à partir de 1880. Ce timbre-poste était imprimé à l’atelier du timbre à MALINES avec des dentelures 14 et 15. L’exemplaire reproduit en page 49 de votre revue me paraît présenter une dentelure de 15. Ce timbre présente des variétés et votre article en illustre une.

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De la part de Olivier DE POOTER

Je me permets de vous contacter pour vous informer de la parution de mon roman « Bertha, les lettres oubliées », un thriller historique qui plonge le lecteur dans l’atmosphère de Nivelles à la veille de la Seconde Guerre mondiale.
L’ouvrage compte 288 pages et sera proposé au prix de 18,90 €. Il sera disponible dans toutes
les librairies ainsi que sur les principales plateformes en ligne.
À travers cette histoire mêlant mémoire familiale, drame et suspense, j’ai souhaité redonner vie à la ville de Nivelles telle qu’elle existait avant-guerre, tout en rendant hommage à ses habitants et à ses histoires oubliées.

Monsieur Olivier De Pooter a autorisé le rif tout dju à publier son récit sur le site de l’association. Nos membres peuvent retrouver « Bertha, les lettres oubliées » à l’adresse suivante du site : https://lenouveaurif.website/liens-vers-des-sites-consacres-a-nivelles/

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De la part de Madame CANART

Madame Canart nous informe que l’acquisition de l’orgue positif réalisé par le facteur d’orgue Étienne Debaisieux a été entièrement financée par l’asbl « Le Concert Spirituel » de Nivelles, présidée par Maurice Jacot. Les fonds nécessaires ont été réunis grâce à la vente d’objets divers, mais surtout par la vente de lithographies reproduisant une œuvre de l’artiste nivellois Georges Aglane

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De la part de Michel DECELLE

La semaine dernière lors d’une visite aux archives de l’état à Forest , lors de mes recherches je suis tombé par hasard sur un document concernant la ville de Nivelles plus précisément sur un relevé de 1815 des cours d’eau qui traversent la ville. Je me suis dit que cela devrait certainement
vous intéresser.

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De la part du service Patrimoine du CPAS

Voici une affiche qui complète l’article consacré à « l’autodrome aclot – Histoire d’un échec 1960 – 1975 » paru dans le Rif tout dju n° 593.
L’adjudication du circuit en 1977.