A Jacques Gondry
Auteur :
Inbumé à Nivelles, le 29 décembre 2003
Notre plus cher désir, dès l’annonce de ta disparition inopinée, a été de marquer, de notre mieux, l’attachement indéfectible qui est le nôtre vis-à-vis de la personnalité appréciée de toutes et tous que tu es depuis toujours en ta bonne ville de Nivelles.
Jacques,
à toi donc ces quatre pages – c’est un acompte — qui ne sont qu’un probablement mauvais résumé de ce que nous aurions voulu évoquer en ta compagnie, à l’une ou l’autre occasion, à propos de ton peu banal passage sur terre.
Jacques,
avec nos mots à nous, parfois bien faibles reconnaissons-le, et nos documents, nous voulons communier à tout prix avec les termes émouvants employés par Jean-Pierre Bourgeois lors de l’hommage prononcé par ses soins en début de la cérémonie de funérailles, texte par ailleurs reproduit dans le présent numéro de
Rif Tout Diju.
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