Chanson : « La Yaya. »

Elle jaillit de claire source
Dans un pré, tout là-haut, là-bas,
Elle cingle vers la Grande Ourse,
A petits flots, à petits pas
Elle court sans délier bourse
Vers son destin, son au-delà
Mais qu’elle est fraîche en sa prime course (bis)
Et qu’elle est vive, la Yaya ! (bis)

Elle bourlingue à travers Thines
Dont elle prend le nom quelquefois,
Et dérive vers les usines
Qui furent Parchemin Delcroix ,
Elle s’abreuve de leurs toxines

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