Des butineuses dans le quartier des canons

Cette fois, mes pas m’ont guidé dans des rues aux noms évocateurs de 4 canons à savoir : l’Espautôle,
l’Inradji, Le rif tout dju et le Broc à l’Aye, dont vous pouvez trouver l’origine dans nos archives.
Mais je vous invite plutôt à la découverte d’un jardin de 9 ares mis à la disposition d’abeilles sauvages par un passionné que je vous présente ci-après :
Monsieur Cnockaert après avoir eu une carrière médicale bien remplie a voulu passer sa retraite en se tournant vers les oiseaux pour lesquels il participe au décompte hivernal sur les plans d’eau nivellois, puis vers les chauves-souris en faisant le recensement hivernal ou non des espèces. C’est vous dire son engagement au niveau européen pour les espèces menacées ou non.

C’est grâce à lui que j’ai pu visiter la glacière de la rue Samiette squattée par deux oreillards (Lisez le Rif 565 et le réfrigérateur urbain). Pour occuper son nouveau temps libre en s’engageant pour la nature et en continuant à améliorer ses connaissances, il a suivi différentes formations chez Natagora et a compris qu’un jardin « nature
admise » apporte une biodiversité (sujet très commenté ces derniers temps ) partagée entre les vers de terre, hérissons, arbres et animaux volants-pollinisateurs, entre autres les abeilles sauvages !

Voilà donc le propos de mon article.
Le nombre d’oiseaux ayant diminué pour toutes sortes de raisons, il s’est soucié de la pollinisation des arbres et a opté pour un jardin diversifié alliant les plantes locales spontanées récoltées lors de ses promenades, la plantation de certaines fleurs et arbustes attirant les abeilles et la construction d’abris/nichoirs

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