Être Nivellois au Moyen Âge
Auteur : LECOCQ Georges Ce qui suit est un essai au sens très humble du terme
Auteur : LECOCQ Georges
Ce qui suit est un essai au sens très humble du terme ; il voudrait tenter de vous tremper, füt-ce quelques instants, dans l’atmosphère et le cadre de vie qui devaient probablement être ceux de VOTRE ville il y a … 500 ans ou plus. C’est aussi un défi sous forme d’un appel pressant à votre imagination, que chacun sait débordante. Si, Si ! Voyons cela de plus près.
Une foule de revues spécialisées abordent aujourd’hui, systématiquement, des aspects jusqu’à présent peu connus de la vie quotidienne des habitants des villes à diverses époques du Moyen Âge. Cela va du bruit des fêtes à la satisfaction gastronomique en passant par les différentes réglementations applicables dans la rue. J’ai estimé, à la lumière de diverses lectures, qu’il serait peut-être utile et apprécié de donner une idée de ce qui se passait à Nivelles à une époque un peu plus précise, à circonscrire entre 1350 et 1500 environ. Peut-être aussi de se poser la question de savoir s’il faisait bon vivre dans cette cité répondant bien à la boutade célèbre d’Alphonse Allais lorsqu’il marqua sa préférence pour « … une ville à la campagne ! »
Reste à relever le défi le mieux possible, car c’en est un, et difficile de surcroît. Allez, on y va. Imaginations, c’est à vous.
VILLAGE ou VILLE ? VILLE ou VILLAGE ?
Ce qui est facile de nos jours ne l’était pas à l’époque je veux parler de la qualification de ville, de village, de bourg ou encore de hameau, parlant d’un agglomérat plus ou moins ordonné et fourni de maisons d’habitation.
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