Hommages à Paul Collet

… du Père OMER ENGLEBERT (nonagénaire) écrivain, hagiographe

Le « Curé Péquèt après quelques années d’écriture en Belgique, trouve sa voie littéraire en France. Naguère encore invité de Bernard Pivot, il est définitivement retraité au Carmel, à Jérusalem, d’où il répond à Francis Collet :

Je suis Français depuis soixante ans (1927). C’est ce qui fait que je n’ai rencontré que deux ou trois fois le cher Paul Collet (1); la dernière fois, quand vous m avez vu avec mes brochures sur Beauraing, alors de Passage en Belgique, en 1932, je crois.

Que vous dire de lui, sinon que je l’ai trouvé aimable, cordial, d’une humeur toujours joyeuse et fort attaché à sa ville natale de Nivelles ? Pas plus n’en a fallu pour que je le considère dès lors comme un ami.

Comment je l’ai connu? J’étais lié avec le Comte Albert du Bois, écrivain célèbre à cette époque, qui habitait tantôt Paris où je le voyais tantôt au Château de F… ? (3), près de Nivelles. Sans doute ai-je voulu faire la connaissance de Paul Collet, l’imagier renommé de cette ville. De tout cœur.

de Willy CHAUFOUREAU

C’est surtout par l’amitié qui me liait à ses enfants, en particulier à son fils aîné, Francis, mon condisciple sur les bancs de l’Athénée et compagnon comitard au sein du Club des Aclots, que je fus amené à Pénétrer dans I’intimité de Paul Collet.

Ces points communs, ces affinités, m ‘amenaient bien souvent à son domicile soit pour décrypter une version grecque ou latine que nous avait imposée Pierre-Oscar Graillet, notre Professeur de rhétorique, soit pour composer l’ordre du jour d’une assemblée du Club.

……..


Laisser un commentaire

Verified by MonsterInsights