Le Pentagone de Nivelles relie une Tour Fermée à un Porte Ouverte…
Auteur : DELAFONTAINE Vic
Tolstoi écrivait dans «La Sonate à Kreutzer»:«.… Il y a deux moyens de montrer à un voyageur le chemin qu’il doit prendre. Le premier moyen consiste à lui montrer les objets qu’il doit rencontrer en cours de route et il se dirige suivant ces objets. Le deuxième est d’indiquer sur une boussole que l’homme porte avec lui la direction invariable à suivre lui permettant ainsi de voir sa route et aussi ses écarts».
La promenade que nous allons effectuer ensemble utilise le premier moyen cité par Tolstoiï.
L’esprit utilisé pour décrire la promenade suit le deuxième moyen cité par Tolstoi dans le sens que les écarts de tout genre qui y figurent ne font pas perdre le Nord.
EN GUISE DE PREAMBULE…
Le titre et le sous-titre sont largement inspirés de l’ouvrage dû à MM. Tarlier et Wauters qui écrivaient en 1862: «La ville de Nivelles était autrefois renfermée dans l’enceinte fortifiée dont le tracé décrit à peu près un pentagone. Le mur avait une longueur de 3000 pas, était percé de sept portes et comprenait onze tours. En 1746, l’occupant français commença à détruire les murs et les portes. On démolit ce qui en restait après la
bataille de Waterloo».
……..