Les pompiers de Nivelles, tous des DURS-A-CUIRE !!! – 2ème partie

Or donc, impasse a été faite, dans le précédent numéro, sur les origines du service incendie de la ville de Nivelles. Voici de quoi réparer, non pas l’oubli, mais le simple report d’un long épisode aussi intéressant que le récit confié par le chef de service en retraite Maurice Van Holle.

Il faut ainsi se souvenir que, fin du XVIIIe siècle, l’intra muros aclot faisait se côtoyer bâtiments en dur et habitations en bois, ces dernières très aisément inflammables, surtout en saison froide, pour cause de feu. ouvert à tout vent.
D’où les nombreux départs de feu que seule, la solidarité des voisins et de très pauvres moyens adaptés parvenaient parfois à circonscrire, au sens propre du terme.

Point de comparaison pour juger au mieux de la progression positive du service incendie à Nivells : sachez qu’au 31 décembre 1991, le dit service comptait 52 hommes, dont UN seul professionnel. Cette dernière précision a son importance, que nous tenterons d’expliciter dans la 3e partie de notre exposé.

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