Octave GRILLAERT, l’infatigable compositeur aclot (complément suite et fin)

L’évocation d’un personnage tel qu’Octave Grillaert peut être un ouvrage sans fin tant sa personnalité estriche et son œuvre imposante en quantité comme en qualité.
Nous vous présentons, ici encore, quelques documents marquants représentant bien le travail et la personnalité de ce compositeur aclot de naissance et de cœur. Il nous en reste bien d’autres, mais il faut bien se limiter…

Cette lettre datée du 12 février 1941 a été envoyée à Franz Dewandelaer alors que celui-ci venait de rentrer de captivité, d’où il rapportait une provision de chansons écrites lors de ses « vacances forcées ». Il avait demandé à Octave Grillaert d’en composer la musique.
On le voit, Grillaert s’occupait du moindre détail… et aussi des questions matérielles qui posaient souvent des problèmes à cette époque plus que troublée.
Le « goûter matrimonial » est une opérette, ce livret contient différents airs composés par Grillaert, paroles de José-Marie Miette.
On y retrouve:
«Le galant» (acte 1).
«La farandole», «Louise», «Le célibataire», «Le maïeur», extraits de l’acte 2.
«Le chef de gare», (acte 3).
Editions Musette, Bruxelles. ,

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