Petite histoire d’une famille nivelloise – Les Charlier. [addenda]

Rien n’est jamais fini. Rien n’est jamais définitif. Quelle que soit la rigueur intellectuelle que l’on s’impose par respect de la vérité historique, on ne peut jamais être sûr à 100 % de l’exhaustivité d’une recherche.
À la dernière page de ma plaquette j’écrivais donc en janvier 2002 :
« Mon cadet âgé de 35 ans n’envisage pas, du moins dans l’immédiat de créer une famille ».
La vie continue, le temps passe, l’eau continue à couler sous les ponts.
Onze mois après la parution de ma plaquette, mon fils Marc et sa compagne Éliane deviennent les heureux parents d’un petit Félix Charlier.
Après avoir pris connaissance de mon travail, de nombreux abonnés au Rif tout dju m’ont téléphoné pour me remercier ou me témoigner leur sympathie. L’un de ces appels m’a particulièrement touché, c’est celui du docteur Dominique Bayot qui a habité au coin des rues Saint-Georges et de Charleroi, en face de la maison de mon oncle Fernand au N°22 rue de Charleroi.

Adolescent, Dominique et son frère Cyriaque fréquentaient régulièrement l’atelier de mon oncle qui leur dévoilait certaines ficelles du métier. Dominique a été profondément ému par la photo prise dans l’atelier, photo que l’on retrouve en page 20. Ce document a réveillé en lui de nombreux souvenirs liés à son adolescence.

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