Souvenirs Nivellois d’un Aclot de 1924. (partie 1)

Je laisse ce recueil de souvenirs à mes petits-enfants.
Peut-être que plus tard, bien plus tard, ils seront heureux de lire
Comment vivait et grandissait, dans les années 1930,
Le petit garçon destiné à devenir leur grand-père !

Et si quelqu’un vient leur dire que Jean de Nivelles
Ne peut pas parler, qu’ils répondent que si :
Je me suis entretenu avec lui pendant six heures !
D’ailleurs, qu’écrivait Georges Willame
Dans ses « Causeries Nivelloises » ?

« Je vous assure qu’il sourit et, si vous me poussiez un peu,
je dirais qu’il vit.
Il vit de la vie que nous prêtons aux emblèmes,
et c’est en lui que notre ville de personnifie le mieux ! »

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