Henri Charlier 1896-1963 et Louisa Charlier 1889-1929 (Résumé de la vie d’un Aclot)

INTRODUCTION

Nous voici arrivés à la fin de l’année 2015. J’ai retrouvé dans mes archives un cahier dans lequel se trouvent de nombreuses chansons transcrites au début du XXe siècle par mon père et sa première épouse qui, en fait, était sa cousine.
Mon père m’en parlait quelquefois.

C’est très curieux les sentiments que je ressens. J’aime Louisa comme si je l’avais connue ! Je sais qu’ils se sont aimés. Ils se sont mariés en 1919 et ont perdu leur enfant (mon demi-frère) en 1921 ! Je les imagine tous deux en train de chanter les textes qu’ils recopiaient. Je me suis fait un point d’honneur à reconstituer ce document afin de laisser une trace de deux Nivellois pur sang, au Musée d’Archéologie de la Ville de Nivelles.

J’ai fait des recherches sur Internet et, à ma plus grande joie, j’ai retrouvé des traces de certaines de ces chansons. J’éprouve un sentiment d’intense émotion en entendant ces airs de musique qui semblent me parvenir d’outre-tombe. A consulter sans retenue sur le site du RIF, soit : riftoutdju.be

Les paroles peuvent varier d’une chanson à l’autre, mais on peut écouter la musique des chansons suivantes sur INTERNET : L’âme des violons, Loques et Chiffons, Les mains blanches, On ne meurt pas d’amour, Biribi, Le vieux voyou. Sachez encore que, pour agrémenter mon sujet, je me suis efforcé de trouver les illustrations les mieux adaptées aux chansons. Il me paraît plus qu’évident que le message transmis par certaines de ces chansons, véritables complaintes de la mal vie du travailleur, ait pu influencer la vie du père. Il devint donc automatiquement défenseur de l’ouvrier. Fils d’ouvrier, ouvrier lui-même, il a commencé à La Brugeoise & Nivelles, puis comme ouvrier gazier avec son beau-frère Urbain Dronsart, responsable de l’Ascension du Ballon chaque année à Nivelles.

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