Les Impasses (1ère partie)

INTRODUCTION
Lors de la préparation de dizaines de promenades ayant pour but la découverte détaillée de cette forteresse médiévale qu’est la cité chère à sainte Gertrude, quelle ne fut pas notre profonde surprise d’être souvent confrontés à des rues sans issue, des impasses si vous préférez, ou encore des culs-de-sacs en langage familier ?
L’une de nos six initiatives intitulées « Nivelles insolite », dans le courant des années « 90 et au-delà, nous a d’ailleurs amenés à parcourir certaines de ces voiries pour en relever l’évolution, mais aussi et peut-être surtout l’origine et la justification dans le cadre organisationnel d’une ville fût-elle relativement petite.
Tout d’abord, pourquoi avoir recouru à ce lointain type de voirie ? La cause principale en est la formidable complexité du plan foncier intra muros hérité d’un Moyen Âge focalisé sur la presque seule propriété terrienne. Si l’on veut bien se rappeler le fait qu’il fallait avant tout se défendre dans un espace protégé par des murailles tout en y accueillant les gens de l’extérieur, remettons-nous dans l’esprit le fait que Nivelles est avant tout et exclusivement une simple forteresse (forticeria, en Italie) pentagonale. Merci au passage, avec une pensée émue, à Vic Delafontaine pour son incontournable contribution toute «militaire» à la description précise de sa
ville adoptive. Les faubourgs ne viendront que bien après, sans toutefois résoudre complètement l’occupation du tissu proprement urbain.
D’où les traces sur lesquelles nous allons nous attarder sous peu.

Impasse Jacquet,
…..Andrieu,
…..Wichet,
…..Gillard Heppe,
…..Jardin Rompu,
…..Baiwy,
…..Roblet ou Culot,
…..Amourettes,
…..Coquerne,

……….


…..Comptoir,
…..Hautain,
…..Madeleine,
…..Saint-Roch ou Saint-Rock,
…..Porte Rouge,
…..Saint-André

…………..


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