Doyenné de Nivelles & Doyens de l’église collégiale Sainte-Gertrude à Nivelles.

Auteur : LECOCQ Georges Il nous a semblé indiqué de faire le point, en ce

Il nous a semblé indiqué de faire le point, en ce temps de grands changements intervenus au sein de l’Eglise catholique, sur un des rôles les plus ingrats au niveau de la vie paroissiale, celui de doyen. Vous trouverez ci-après un article clé sans prétention assorti d’une liste commentée
des différents titulaires du doyenné de Nivelles depuis la promulgation des dispositions nouvelles du Concordat de 1801, dispositions appliquées à nos contrées dans le courant de l’année 1803 lors de la réorganisation des diocèses.
Malgré une collaboration active tous azimuts et des sollicitations répétées au niveau des archives de l’archevêché, il subsiste cependant quelques lacunes que je vous convie
dès maintenant à m’aider à combler pour parution, à titre de complément, dans un tout prochain numéro du RIF

introduction
Peut-être est-il indiqué — c’est mon avis du moins — de rappeler succinctement ce en quoi consiste la fonction de doyen, importante au sein de la communauté catholique, mais aussi de la communauté civile, quoique dans une largement moindre mesure.
Les connaisseurs de l’histoire de Nivelles, et surtout de celle de son abbaye originelle, savent que le mot « doyenne » désignait déjà, depuis sa fondation, la chanoinesse chargée plus particulièrement de la bonne tenue morale et religieuse des membres de la communauté abbatiale, la « prévôte » étant chargée pour sa part de ce que nous appellerions aujourd’hui la logistique. Mais il n’y à que très peu de similitude entre la fonction de doyenne des débuts du
monastère et celle de doyen — toujours un homme remarquez-le —, coordinateur des curés de paroisses dans notre monde actuel.

( voir les rectifications au n° 453, page 45 )

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