Du côté de chez d’Hoop… [ AGR ]
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Au moment où il était sous-chef de section aux Archives Générales du Royaume à Bruxelles, Alfred d’HOOP se vit confier, à sa demande, un travail d’envergure qui allait devenir à la fois un véritable monument et une remarquable mine de renseignements pour toute personne s’intéressant aux
archives ecclésiastiques.
Et, à la réflexion, pas seulement à ces dernières car il ne faut en aucun cas perdre de vue le fait que l’ensemble des institutions religieuses, au fil du temps et jusqu’à la fin du XVIIle siècle en tout cas, ont servi de dépositaires privilégiés et pas uniques des écrits portant sur les diverses activités civiles mais aussi religieuses dans les domaines culturel, administratif, judiciaire ou autres.
L’obligation faite depuis longtemps aux fabriques d’églises de déposer les archives paroissiales aux A.G.R. a eu ceci de bénéfique, c’est d’exhumer littéralement une grande partie des documents dispersés lors
de la dissolution des divers ordres religieux, même si cette « exhumation » n’a pas permis tous les regroupements espérés, les dépôts,chez les particuliers ayant conservé une importance non négligeable.
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