El Roûse dè Sinte Ernèle au Waux-Hall.

Une fois encore, la scène du Waux-Hall verra se dérouler le drame (!) tragi-comique d’El Roûse dè Sinte Érnèle. Écrite en un terroir très pur à la fin du XIXe par Georges Willame avec la collaboration de camarades étudiants comme Édouard Parmentier, Hector Declercq pour la musique… cette pièce, en un prologue et trois actes, fait le bonheur des aclots depuis 1890 (création le 2 mars).
Nombreux sont ceux qui assistent à chaque représentation (plus de 75 depuis l’origine). Certains d’entre eux connaissent mieux les répliques que les comédiens, ce qu’ils ne manquent pas de leur faire remarquer après la représentation.
À quoi est dû cet engouement ? Plusieurs raisons y concourent :

* L’histoire : il s’agit d’une légende connue en Europe sous diverses variantes.
Un roi, accablé d’un mal de jambe inguérissable, reçoit de la bouche d’un paysan, Batisse Pantchou un remède infaillible : « El roûse dè Sinte Ernèle… une petite rose approchant brune et douce comme du velours, qu’on trouve dedans les bois… ». Le roi envoie ses trois enfants chercher la rose, en promettant une forte récompense à qui la lui rapportera.

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