Images d’autrefois… Le chêne de Monstreux.

En 1911 , dans «Le Brabant méconnu» (1), Arthur Cosyn invitait le lecteur à aller admirer une curiosité : LE CHENE de Monstreux. Il le comparait au chêne millénaire de Lummen, sous lequel Camille Lemonnier et Henri Carton de Wiart prêchèrent si éloquemment l’amour et le respect des arbres.

Il signalait aussi que le chêne était blessé et portait deux cicatrices, dont l’une «quoique plus sérieuse ne sembla pas non plus devoir mettre la vie de l’arbre en péril»…

Cet arbre magnifique déployait sa couronne imposante au milieu des prairies de la rive droite de la Thines, en aval du village. Du tronc peu élevé (environ trois mètres), s’élançaient onze branches maîtresses, elles-mêmes grosses comme des arbres

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