La reconstruction de la ville de Nivelles après 1940

Un épisode chaud et primordial : le battage des pieux. Précisions rassemblées par Georges LECOCQ, d’après le mémoire de licence défendu à l’UCL., en 2007-2008, par Noémie GARIN.

En guise d’avant-propos Dieu seul sait quel impact ahurissant et durable a eu – et a encore l’inhumain bombardement de la ville de Nivelles par les avions allemands en ce fatidique 14 mai 1940. Près de 45 [quarante-cinq : vous lisez bien] années ont été nécessaires pour parvenir à effacer pratiquement toutes les traces de cet acte inqualifiable, sauf au fin fond des cœurs aclots. Et ce sont les fêtes organisées autour de la célébration d’une collégiale Sainte-Gertrude restaurée, en septembre 1984, qui nous servent de repère pour avancer une telle affirmation. Car les problèmes soulevés furent nombreux. Et ils concernaient pratiquement tous les habitants du fait de l’ampleur des changements au moins urbanistiques à apporter.

Nous allons nous pencher sur un de ces problèmes, important et basé sur le site même où s’est développée la ville, de place forte en dur qu’elle était depuis la fin du XIIe siècle.
Nous allons, dans ce but, laisser la parole à une Nivelloise, Noémie GARIN, étudiante en histoire ……..

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