La résurrection des orgues de la collégiale

Touche, vergettes, abrégé et pilotes, boursette, basse de cromorne, récit de nasard, et j’en passe. Voilà, me direz-vous, vocabulaire rébarbatif. Rien de plus explicable pourtant si l’on réalise qu’un organiste utilise ces termes d’une manière courante.

Nous avons eu l’occasion de nous familiariser un peu plus avec l’organologie (au sens musical du mot) le vendredi 12 septembre. Ce soir-là, ont été inaugurées les orgues de notre collégiale, disparues le 14 mai 1940. Une véritable résurrection après quarante-six années d’interruption !

Il va de soi que l’administration communale de Nivelles et la fabrique d’église n’ont pas improvisé la reconstruction des orgues. Du discours académique prononcé par Mr Wauters, bourgmestre ff., je note que plusieurs noms de familles nivelloises (Coppin, Rochet, Gheude et d’autres) émaillent l’histoire des facteurs d’instruments, Et j’extrais cette phrase essentielle … les architectes W. Hanse et G. Ladrière ont voulu que l’orgue de la collégiale soit un orgue classique et de type brabançon, qu’il soit construit selon le type des Pays-Bas méridionaux et du Nord de la France, et plus spécialement selon le type de l’école de Nivelles

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