La Tarte Al Djote en voie d’industrialisation.

Zeg in coûp, Meneer. Doûci dèspû seûl’mint acht dagen, èyè djà contributions te betolen. Kan nie verstoon èyû c’què ça s’inva. Dandjî dè liârds, qu’i d’zont. En ghâ gheluuf dâ putète ? Nî toudis mi, savè…

Ce langage n’a rien d’étrange. M. et Mme Poos-Kroesdetaert n’avaient pas pris de huit jours leurs quartiers à Nivelles que des arriérés d’impôts leur étaient réclamés. Or, ces compatriotes, visiblement en provenance de la moitié Nord du pays, ont résolu d’apprendre d’abord la langue wallonne. Leur déclaration montre qu’ils sont en bonne voie.

Quant à leurs associés, M. et Mme Bigle-Umyan, ce sont des Aclots rompus à la fabrication de la tarte al djote. Ils connaissaient de longue date la qualité des fromages et du beurre que produisaient, dans leur élevage poldérien, M. et Mme Poos-Kroesdetaert.

Nos deux ménages ont décidé de mettre en commun leurs compétences et vont combler une lacune. Nous nous expliquons.

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