La vitalité d’André Wilmet et la poésie de Walter Demin

Les Poètes n’inventent pas les poèmes.
Le poème est quelque part là-derrière.
Depuis très longtemps il est là
Le poète ne fait que le découvrir.

L’Association nivelloise d’Ecrivains Pégase sera présente le 30 août à la Journée des Artisans, au Waux-Hall, près du Syndicat d’Initiative et de Rif Tout Dju dont elle est la fille. Plusieurs de ses membres ont édité des recueils qui pourront être présentés au public. Parmi eux «Ce morceau de moimême» de Walter Demin, anagramme d’André Wilmet.

Recueil remarquable par la diversité des thèmes, leur sensibilité à laquelle s’adapte parfaitement le rythme des vers, également par sa présentation, le choix des caractères et de la mise en page, l’habileté technique, les photos de l’auteur, la couverture de sa fille, les dessins inédits de ses amis.

Rif – Ce cinquième recueil contient et dépasse les précédents : c’est un message ?

W.D. – Exactement : l’idée m’en est venue lors du décès brutal de mon beau-frère, ingénieur à la R. T. T. J’aipensé qu ‘à 60 ans il était temps de laisser mon message. Tout d’abord, mes onze années de soleil à Nivelles de 1925 à 1936. Je revois le laitier, le marchand de loques, le marchand de glaces à deux boules pour 25 centimes. Mes parents habitaient rue Laurent Delvaux, mes grands-parents rue François Lebon • c’est bon-papa Wilmet qui m ‘a fait découvrir la campagne en m ’emmenant dans de longues promenades avec sa canne à pommeau d’argent. J’ai le souvenir de grandes fêtes, le cortège du centenaire en 1930, où j’avais peine à reconnaître ma Sœur dans l’uniforme de Jean de Nivelles.

Rif – Elle préside aujourd’hui le Cercle philatélique, je crois

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