Le ( gros ) chêne de Monstreux.

Le fait de dépouiller les revues orientées vers le Brabant, d’y rechercher et, une fois trouvés, de parcourir ces dizaines d’articles axés sur l’histoire, le tourisme et le folklore, nous a permis de repérer au passage quelques envolées à propos de Nivelles et de ses environs immédiats. C’est le cas de Monstreux, et plus particulièrement de son chêne bien connu, à propos duquel bien des choses, le plus souvent contradictoires, ont été dites et écrites. Je crois bien faire en vous livrant la version la plus plausible, due à la plume bien alerte et documentée d’Arthur Cosyn, et tirée du Bulletin officiel du Touring-Club de Belgique, XXVIIIe année, n° 3, du
1″‘février 1922.
À noter que toute une série de ces bulletins du TCB m’ont été confiés pas plus tard qu’en ce mois de décembre 2004, par Jacques Bertrand, que je ne saurais trop remercier de ce geste de confiance envers l’institution muséale nivelloise dont une des missions importantes est précisément la conservation et la mise à portée de tous de son contenu.
Place au récit. dont l’orthographe d’époque a été conservée par respect pour l’auteur :
Le gros chêne de Monstreux {extrait de : Le Brabant Inconnu)

Il n’est plus, hélas ! Les journaux quotidiens publiaient récemment le « fait divers » ci-après :
« Acte de vandalisme à Monstreux.

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