Nivelles – Londres… en cent septante cinq jours

Au printemps 1942, la marée japonaise avait atteint une telle ampleur que plus rien, semblait-il ne pourrait l’arrêter.
Hitler qui avait pris personnellement le commandement sur le front de l’Est, transférait son Q.G. du « repaire du loup » à Vinnitsa en Ukraine. Les objectifs allemands et les moyens de les réaliser n’étaient plus les mêmes début 1942 qu’en 1941 et Hitler ne voulait plus voir personne d’autre s’en occuper…
La bataille de l’Atlantique atteignit son point culminant au cours des trois premiers mois de 1942. De jour en jour, la guerre sur mer devint de plus en plus une affaire de bravoure et de persévérance.
Les Allemands reprennent l’offensive à travers la Cyrénaïque et leur entrée en Egypte est imminente.
Dans notre pays occupé par les nazis, les exactions et les persécutions dont ceux-ci se rendirent coupables, soulevèrent une vague de haine, qui provoqua une résistance de plus en plus forte. Si la majorité des gens se confinèrent, de peur, dans une collaboration ou une résistance passive, il y en eut par contre qui osèrent agir. A Nivelles, comme ailleurs, quelques jeunes, bravant tous les dangers, rejoignirent les forces alliées en Angleterre.
M. René Cobaux, journaliste au « Courrier de l’Escaut » a relaté les tribulations de l’évasion du docteur Jean Degand, médecin biologiste bien connu des Nivellois.

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