Théâtre de l’opérette (suite)
Auteur : Chose promise, chose due ! Comme nous vous l’avions signalé dans notre RIF
Auteur :
Chose promise, chose due !
Comme nous vous l’avions signalé dans notre RIF n° 508 de septembre-octobre 2013, et quelque peu enorgueillis, nous avons le plaisir de vous relater les échos du spectacle de « La Route Fleurie » qui fut joué les samedi et dimanche 7 et 8 décembre 2013, et a remporté un vif succès. C’est sous les applaudissements d’un public ravi et en liesse que se sont terminées ces deux représentations. Représentations qui, nous l’espérons, en augureront encore beaucoup d’autres, étant donné les difficultés actuelles d’obtenir des subsides.
Mais revenons à nos moutons ! Nous vous avions promis d’apporter une suite à notre article ! …
LE THÉÂTRE DE L’OPÉRETTE
(Par l’œil et la plume d’Eliane ROBIN-HORBACH)
En juin 1988, Willy LAMBERT et une poignée d’amis dont la ténacité n’avait d’égale que l’enthousiasme, se mirent en tête de ressusciter l’opérette à Nivelles, un genre artistique souvent décrié par les « mélomanes sérieux et avertis », mais qui exige tant de talents divers de la part de ses interprètes (chant, comédie et danse).
Dès lors, des chœurs, des solistes, de petits élèves de l’école de danse et des musiciens, tous amateurs, unirent leur talent fait de bonne volonté et de dévouement: d’emblée, ce fut le triomphe ! Vingt minutes de rappels ininterrompus lors de la première représentation de la « Cocarde de Mimi Pinson » !
C’était parti ! La fée « Opérette » renaissait de ses cendres. Et pourtant, le chemin était semé d’embûches: l’opérette coûte cher et les subsides n’étaient pas bien gras.
Côté répétitions, une salle exigué et souvent enfumée dans l’ancienne école « Le Lycée » de la rue Seutin.
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