Quid des pêcheurs nivellois

Auteur : LECOCQ Georges Qui dit « Dodaine » pense en tout premier lieu à un « domaine

Qui dit « Dodaine » pense en tout premier lieu à un « domaine aquatique » puisque marécage il y avait jusqu’en 1818..

Car le lieu était avant tout un marais nauséabond, menaçant la santé des Aclots de par les miasmes que ce marais engendrait immanquablement. Il y eut bien une exploitation vivrière sous l’impulsion de l’abbesse du moment, soit vers 1550 notamment, afin de nourrir tout ce petit monde de sans-ressources qui hantait l’abbaye, abbesse, chanoinesses et chanoines en premier lieu.
C’est un fait que nous avons pu établir Henri DUBOIS (†) et moi-même lors de la confection d’un article paru dans le RIF n° 490 sous le titre « Le canal à Nivelles », mais aussi, et de façon plus détaillée, dans le numéro spécial consacré à notre sacro-saint parc de la Dodaine, soit le n° 352, tous deux toujours disponibles au bureau.

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■ Réponse nivelloise en 1972 : 4 pêcheurs et une carpe bien embêtée de se retrouver là, pesant aux alentours de… 6,500 Kg au jugé.

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