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Auteur : Flash sur l’Empereur : Nous devons à l’obligeance de Mme A. Coulon (Antoine

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Flash sur l’Empereur : Nous devons à l’obligeance de Mme A. Coulon (Antoine Coulon, vice-consul de Belgique, 1885-1961) ce document retrouvé dans des papiers de famille, coup de jour dans la nuit des temps, instantané de Napoléon, une minute de sa vie. Il s’agit d’une lettre adressée par Antoine Coulon, sculpteur nivellois (1819-1901) à son frère Emile-Joseph Coulon, architecte provincial du Brabant ( 1825-1891), relatant l’entretien de leur père, Antoine-Joseph (1788-1856), avec !’Empereur. Ou, sans doute en en précisant les détails, car il est peu probable que Emile-Joseph ignorait cette entrevue. Donc, en 1810, peu de temps avant le mariage de Napoléon avec l’archiduchesse Marie-Louise, Antoine-Joseph Coulon, en voyage à Paris, fait connaissance d’un concitoyen nommé Taburieaux, né au hameau du bois de Nivelles, qui est devenu impropre au service à cause de ses blessures et incapable de gagner sa vie par son travail……..

Nos Poètes : Philippe CARETTE, Le 17 décembre 1949, à 16 heures, au boulevard de la Fleur de Lys, dans la clinique du Docteur Hamblenne, une jeune quercynoise, Jeanne Paule Couderc, née à Cahors, mettait au monde un gros garçon que l’on baptisa Philippe. Le père, Albert Clovis Carrette, un Français du Nord, né à Templeuve en Belgique, était domicilié à Braine-l’Alleud. Le jeune Philippe fut élevé au pays de sa mère, à Cahors, la capitale du Quercy, la patrie de l’homme d’Etat Gambetta ( 1838-1882), du pape Jean XXII (pape à Avignon de 1316 à 1334). C’était la patrie aussi du poète Clément Marot (1496-1544), ce qui fait dire plaisamment à Philippe : « nous étions entre collègues ». Car Philippe est poète. Le nectar du Quercy le rendit il rêveur ? ……..

La mort de Roger GABRIEL : Il neigeait, le 16 février, lorsqu’on a conduit Roger Gabriel à sa dernière demeure. Quatre jours auparavant, rentré chez lui après avoir été se restaurer, alors qu’il regardait le petit écran, il s’était affaissé brusquement. Tout était fini ! Il avait 63 ans. Chaque fois que je me rendais au cimetière de la rue du Nord, à Ecaussinnes-d’Enghien, afin d’aller me recueillir sur deux tombes qui me sont chères, je passais devant la sépulture de ses parents. Cette sépulture occupe quasiment le centre de la partie la plus ancienne du funèbre enclos. Je ralentissais le pas. Je pensais à lui, affectueusement, comme à un ami. Pourtant, aujourd’hui encore, j’ignore le dessin de son visage. Je n’ai jamais……


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