De Bric & de Broc…
Auteur : Chiffres, Cotisations 1973 et projets … Le mois de septembre amène l’équipe du
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Chiffres, Cotisations 1973 et projets … Le mois de septembre amène l’équipe du Rif à faire un premier bilan, à vous soumettre ses projets, ses prévisions … et à solliciter le renouvellement des COTISATIONS ! Nous allons, bien sûr, respecter la tradition. Nous voudrions cependant ne pas nous limiter à un simple appel de fonds, mais expliquer un peu notre gestion et inviter nos membres à participer davantage à la vie de notre association. Tout d’abord, parlons chiffres. Au 1″‘ janvier 1971, nous avions un déficit de 12.740 frs. L’année 1971 se clôturant par un boni de 2.023 frs, notre déficit est donc ramené à 10.717 frs. Notre objectif est évidemment d’éliminer le plus vite possible ce déficit … Nous voudrions y arriver au 1″‘ janvier 1974 : nous serons alors très près de notre VINGTIEME ANNEE et … de quelques dépenses supplémentaires. Dans l’immédiat, la sagesse et la prudence nous commandent peut-être de relever…..
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Lu pour Vous : MONT-SAINT-GUIBERT est une commune attachante à bien des égards. Ses origines remontent à 1123. Elle fêtera donc l’an prochain son 850e anniversaire. Jadis, les ducs de Brabant en avait fait un bourg important dont le maire ou chef maïeur avait juridiction sur toutes les localités comprises entre Wavre et Gembloux. Wavre l’a dépouillée de ce titre de chef-lieu de mairie, lors de la Révolution française. Actuellement, elle se trouve assise entre deux chaises. D’une part, elle dépend électoralement de Perwez ; de l’autre, administrativement et judiciairement de Wavre. Mont-Saint-Guibert compte approximativement 1.700 habitants. Sa démographie ne décroît pas. Hormis des commerçants, sa population se compose uniquement d’ouvriers et d’employés. Car, bien qu’étant une agglomération rurale, les fermiers y sont l’exception. Côté enseignement, nous avons ici le collège Marie-Médiatrice des Frères Maristes qui compte plusieurs centaines……
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EN PRESENCE DES DESCENDANTS DE GENERAUX ANGLAIS, HOLLANDAIS ET PRUSSIENS, Waterloo s’est JOUE au Dés : C’était à Waterloo, plus d’un siècle après la bataille. Cette fois, les Anglais avaient mis toutes les chances de leur côté : Napoléon n’était pas de la partie. Pour le lancement d’un jeu de société inspiré de la stratégie des guerres napoléoniennes, un fabricant de jouets de Leeds (Yorkshire) a invité quelques-uns des descendants des grands chefs militaires de l’époque à venir s’affronter pacifiquement sur le champ de bataille de Braine-l’Alleud. Aucun membre de la famille Bonaparte, aucun Français même, n’avait été convié à défendre les chances de la « Grande Armée ». Les organisateurs avaient trouvé des descendants du duc de Wellington, du général prussien von Blücher, dont l’intervention au soir du 18 juin 1815 précipita la déroute des armées françaises, du général hollandais Rebecque, mais, prétendent ils, ils n’étaient pas parvenus à retrouver en France la moindre trace……
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