De Bric & De Broc…

« Carmina Burana » à Nivelles Le Centre Culturel de la Ville de Nivelles (a.s.b.l.) offre à la Collégiale Sainte-Gertrude, le samedi 9 mars à 20 heures, l l’oeuvre de Carl ORFF, la plus actuelle, la plus vivante, la plus intrigante : les Carmina Burana! René Defossez a mis l’oeuvre au point. Avec les moyens dont il disposait, c’est un tour de force, de les présenter aussi impeccablement. La Royale Harmonie de Frameries interprète la partie musicale écrite originalement pour tout grand orchestre symphonique. René Defossez l’a adaptée, avec l’autorisation de Carl Orff lui-même. Des choeurs, René Defossez les a fondés en 1972 pour la circonstance, ils sont très nombreux et costumés en moines, c’est du plus bel effet !…..

ALBUM : Nivelles en Cartes Postales Anciennes : « La Bibliothèque Européenne » à Zaltbommel (Pays-Bas) vient de publier un magnifique album consacré à «NIVELLES EN CARTES POSTALES ANCIENNES». C’est une magnifique édition que tous les Nivellois garderont jalousement dans leur bibliothèque. L’auteur, M.E. Samain, un nivellois d’origine – dédie le livre à son ancêtre Philippe Samain, premier juge de paix de Nivelles, grand-père de Louis Samain qui sculpta jadis un Tinctoris disparu dans la tourmente de 1940. Les cartes anciennes rassemblées ici sont très nombreuses (quelque septante-cinq). Certaines sont très peu connues, toutes sont de grande qualité. Les légendes sont celles d’un poète attendri qui commente ces images du passé avec un brin de nostalgie, regrettant la calme quiétude d’autrefois Du reste laissons parler l’auteur en insérant le texte qu’il donne en guise de préface de son si bel album En guise de préface …

Pierre HOUART : Souverains des Pays d’en Bas : La monarchie dans les Pays d’En -Bas, contrairement à ce qui s’est passé dans d’autres pays, n’a jamais revêtu en droit de caractère absolu. Le centralisme monarchique et l’unitarisme y étaient heureusement proscrits. Toujours nos régions entendirent préserver leurs libertés, leurs institutions propres, leurs coutumes et leurs privilèges. Ceux-ci, déclarait Morillon, ami de Granvelle, sont «chair qui tient aux ongles des belges». Ce droit de remontrance au prince figurait d’ailleurs dans la «Joyeuse Entrée de Brabant» (article 59). Il y était stipulé que si le souverain violait la Constitution, plus aucun service ne devait lui être presté, et qu’on ne devait lui obéir en aucune chose, tant que le grief ne .serait pas redressé. Une constante de notre histoire, c’est que nous ne fûmes jamais des sujets mais des hommes libres exigeant du Prince et de ses représentants…


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