Nivelles il y a cent ans.

Que ce soit des Vint’ kate apas où, comme sur la gravure reproduite ci-contre, au pont du Tiène Sint-Roch, il est de ces étroits passages d’où l’on découvre Nivelles sous son aspect intemporel. En passant ces portes invisibles, on entr’aperçoit un site immuable. Et pourtant ! Que de silhouettes urbaines se sont effacées au fil du temps.
Ce vieux coq perché sur la flèche de la collégiale ne rappelle-t-il pas aux fanfarons qu’il était le personnage le plus haut placé de la ville ?
Qui se souvient de la grande maison de Lalieux de La Rocq dont les lions de pierre surveillaient la place Bléval, à deux pas de l’hôtel de ville, notre ancien palais abbatial? ?
De la forge aux vingt-huit foyers dont les hautes cheminées saupoudraient de leurs fumées les toits de la cité ? la Thines (boulevard des Arbalétriers) la route de Hal et le chemin de fer de Manage.
Une autre entreprise occupait la surface de l’actuel parking du Mont Saint-Roch : les Ateliers de réparation du chemin de fer de la Jonction Est (Manage-Wavre).
Un réverbère à GAZ est accroché au mur de jardin d’une propriété privée en bordure du Tiène Sint-Roch (la rue Joseph Wauters n’existait pas encore). Il éclaire le pont du chemin de fer et l’entrée du sentier (aujourd’hui rue de l’Ange) qui conduit à la pavéye d’Hal.
L’arrivée du gaz de ville à Nivelles est directement liée à l’installation de la Compagnie Centrale de Construction du matériel de chemin de fer ( le “gazomètre » ne fut-il pas implanté en bordure même de l’usine ! )}. En effet, dès 1863, les 89 réverbères à huile furent remplacés dans

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