Tantôt, demain & après.

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1973 : AN 1 D’UN NOUVEAU CLUB DE JEUNES A NIVELLES : Au cours du mois de novembre, une poignée de moniteurs et de monitrices du camp de vacances de la ville de Nivelles avait décidé de se grouper en association de fait : le prétexte d’un rendez-vous fut trouvé grâce au Bal du Commerce en la salle polyvalente au Parc de la Dodaine. Vu ces premiers succès, on battit le rappel de tous les moniteurs et devant une nouvelle avalanche de réponses favorables, il fut décidé que l’association serait ouverte à tous les jeunes intéressés par nos activités : un nouveau club de jeunes était né dans notre bonne vieille ville de Nivelles ! Durant tout le mois de décembre, les réunions succédèrent aux réunions. L’organisation se fit dans les règles de l’art : un comité fut élu depuis le président jusqu’au trésorier adjoint, un local fut recherché et trouvé à la Maillebotte grâce à la bonne compréhension de l’administration communale et particulièrement de M. Albert Vander Heggen, Echevin ; enfin, notre demande de subsides se promène dans divers bureaux à Bruxelles… bref, nous existons ! La tenue sur les fonts baptismaux fut orchestrée pour la nuit de la Saint-Sylvestre. Si le prénom « Amicale de Jeunes » fut donnée, aucun nom n’a encore été choisi. Ce sera chose faite en février lors de l’occupation et l’aménagement du local. En attendant ce grand moment, le réveillon du Nouvel An a réuni plus d’une trentaine de personnes, moniteurs et amis, pour un souper plus que copieux et une soirée dansante très réussie. Et à minuit, après les bons vœux traditionnels, chacun participa à une tombola gratuite et reçut un gadget, souvenir de cette merveilleuse soirée. Une fois de plus, les absents avaient eu tort. Après ce petit rappel historique, parlons un peu de nos objectifs. Tout d’abord, rassurons les comitards de la Maison…..

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Les Poissons Rouge : C’est énorme, débordant de santé, d’insolence, de vitalité, de talent … très drôle, enlevé à la cravache» (« Le Soir»). « … le texte le plus spirituel écrit sur le monde, la vie, les Françélio, le couple, l’amitié … cela fuse de toutes parts .. Tout cela est merveilleux, on ne cesse de songer à Molière  » («Pan»). – Claude Etienne y est virtuose. Il éblouit, amuse .. A lui seul, il mériterait le déplacement » ( « La Cité »). – « Anouilh … s’il reste un seul Français capable d’éviter les pièges du sectarisme il sera celui-là … un cri d’amour » ( « La Dernière Heure»). – « Ça brille. Ça fuse. Ça rit. Ça grince. Ça vit. Ça règle des comptes. C’est plein d’esprit, de malices » ( « La Libre Belgique »). – « Cette verve mordante … a quelque chose de fort, de sain, de tonique, de libérateur … Bernard Detti et Eric Pradier : deux personnages surprenants pour deux comédiens remarquables.  » ( « Pourquoi Pas ? .. ).

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