Les impasses (2ème partie)

Nous avons passé en revue les quinze premières impasses qui nous sont tombées sous les yeux. Quand vous saurez que nous allons frôler le total assez ahurissant de plus de 40 voiries de ce type… Contraints et forcés, nous avons attribué l’année 1980 comme limite supérieure d’existence, à quelques rares exceptions près.

Poursuivons donc notre chasse à l’impasse sachant que de nombreuses voiries, réunissant a priori les critères d’impasse, ont été désignées autrement dans le jargon administratif, tantôt par « cul-de-sac » ou «allée », tantôt par « cour », « venelle » et même… « rue ». D’où une confusion certaine ; d’où la difficulté de bien cerner la notion fondamentale d’impasse ; d’où le vif contentement de l’équipe d’avoir pu surmonter les nombreux problèmes ou presque ; d’où pourtant certaines hésitations que vous voudrez bien nous pardonner.

impasses de l’Oiseleur,
de la Grosse Pompe ,
de la rue François Lebon ,
Renard ou Cour’Rnaud ,
Clair Ménage ou Pardonche ,
de l’Etuve ,
de la Violette ,
des Conceptionnistes ,
de l’Ange ,
du Sablon ,
Wellington ,
des Choraux , 
sans nom au bas de la rue de Namur près de la rue du Cura ,
sans nom rue de Soignies ,
Adrieu(x) , 
du Jardin Rompu ,
de la Madeleine

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