Sapeur-pompier-ambulancier, un métier pénible à risques

La ville de Nivelles s’est dotée d’un corps de sapeurs-pompiers volontaires à partir d’avril 1860. Cette initiative est due à l’échevin Abel LAGASSE qui en était devenu le capitaine-commandant. Le lieutenant Adolphe FAIGNOT et le sous-lieutenant Albert BOURGEOIS compléteront le cadre des officiers dans un effectif de 54 hommes.

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Qu’il ou qu’elle soit professionnel(le) ou volontaire, le sapeur-pompier est toujours sur le qui-vive et rappelable 24h/24 au vu de l’ampleur d’un sinistre en cours. Naguère le rappel « incendie» se faisait par
la sirène. Dans la rue de Mons les habitants pouvaient alors voir les pompiers arriver à la la course à pied, à vélo, à moto, ou en voiture pour rejoindre leur caserne située à cette époque dans l’impasse de la Grosse Pompe.

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Combattre un incendie c’est bien autre chose que de déverser de l’eau.
Tout en sauvant les habitants il est impératif en même temps d’éviter tout risque de propagation du foyer aux immeubles voisins. Avant d’arriver au pied de l’immeuble en feu Il n’est pas rare que les pompiers doivent se frayer un chemin entre des véhicules en stationnement sauvage qui retardent fortement l’opération de sauvetage des victimes. Sur les lieux d’un incendie les pompiers doivent combattre les flammes, mais aussi refroidir et retirer les matériaux susceptibles de couvrir des flammèches qui peuvent relancer l’incendie au moindre souffle d’air. Ci-contre un incendie à la suite d’explosion de gaz dans la
rue de Bruxelles fin juillet1982.

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